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Par SUNCATY le 1 Novembre 2015 à 06:00
Ces phrases qui énervent les ados (et que les parents devraient éviter)
Elles sont nombreuses, ces phrases qui rendent dingues nos ados. Pourquoi ces injonctions ont toutes les chances de rester lettre morte? En quoi peuvent-elles parfois être traumatisantes?
"Range ta chambre"; "Réponds moi quand je te parle"; "Ne me parle pas sur ce ton"; "C'est qui ce garçon?"; "Lave-toi, tu sens mauvais"; "Tes cheveux sont gras"; "C'est quoi ce bouton?"; "Arrête de te gaver de cochonneries avant le repas"; "Tu as eu des notes?"... Si vous êtes parent(s) d'adolescent, vous avez forcément prononcé au moins une fois l'une de ces phrases dans les dernières 24 heures.
A moins d'être champion(ne) de la méditation et doté(e) d'un tempérament plus calme que celui du Dalaï-lama, difficile en effet de ne pas se laisser dépasser par les événements quand l'enfant, cet être de lumière, se transforme en un démon dont il est difficile de croire qu'on ait pu un jour le trouver mignon.
Parce que l'adolescence est une période de mutation qui déstabilise non seulement le principal concerné mais aussi ses parents, les invectives et injonctions censées le faire obéir se multiplient, avec à la clé un résultat quasi nul. Sans parler de toutes ces réflexions dont on sent bien en les faisant qu'on aurait du les garder pour soi et qui font grimper immédiatement nos rejetons dans les tours. Témoignages et éclairages.
"L'adolescence est une mue douloureuse"
"Lorsqu'on vit avec un ado, il faut prendre conscience qu'on a en face de soi une personne qui n'est plus ce qu'elle était et qui n'est pas encore ce qu'elle sera", résume la psychologue Elisabeth Brami*. "Françoise Dolto comparait l'adolescent à un homard, je préfère quant à moi parler de grand brûlé. L'adolescence est une mue douloureuse, parce que changer de peau est une souffrance terrible. L'adolescent se sent trahi par le monde entier mais aussi par la biologie. Alors dès qu'on le touche, au sens propre ou figuré, il hurle."
Là où en tant que parent on voit de la susceptibilité, il faudrait donc plutôt voir une incapacité à comprendre ce qui lui arrive, une peau "à vif", qu'il convient de panser. Cette fragilité extrême explique que tout ce qui est dit soit interprété comme une attaque. Sachant que les parents, qui n'ont pas non plus de repères pour affronter cette nouvelle phase de la vie de leur enfant, brillent souvent par leurmaladresse.
Les injonctions ne servent à rien
Première catégorie de "phrases qui tuent" pour Elisabeth Brami, "lesinjonctions, qui ne sont pas toutes illégitimes en soi, mais qui formulées comme des ordres ne servent souvent à rien." Exemple emblématique, le fameux "Range ta chambre", qui n'est suivi en général d'aucun acte. "Sur ce point précis, il faut faire la part des choses entre ce qu'on est en droit d'attendre et ce qu'il vaut mieux laisser tomber", analyse Elisabeth Brami. L'adolescent n'est plus ce petit enfant à qui on demande de ranger ses Légo. Il laisse trainer ses affaires? C'est en quelque sorte son problème et son droit. En revanche, tout ce qui touche à la propreté de sa chambre, et par extension de la maison ou appartement, est non négociable".
Mais, poursuit la psychologue, "au lieu de répéter inlassablement les mêmes invectives, il faut plutôt tenter de passer un contrat avec lui". On peut ainsi réunir régulièrement un conseil de famille, dans lequel chacun fait part de ses souhaits et doléances. Ou profiter d'un moment de calme, où l'on n'est pas dans le conflit, pour expliquer à son enfant ce qu'on attend de lui, ce que l'on peut supporter ou non".
Il est aussi important, poursuit Elisabeth Brami, "de parler de soi": "Je ne peux pas vivre dans un appartement qui sent mauvais parce que tu as laissé pourrir une pomme sous ton bureau", par exemple. Ou bien: "Je sais que ça t'agace, moi même je l'étais quand ma mère me faisait ces réflexions, je ne suis pas parfaite, mais j'ai besoin que tu participes plus à la vie de la maison".
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Discuter plutôt que menacer
Une démarche entreprise par Claire, mère en garde alternée d'Hugo et Clémentine, respectivement 15 et 13 ans. "Après m'être épuisée à leur crier tous les soirs de débarrasser la table, à menacer de faire la grève des repas s'ils ne m'aidaient pas au moins à mettre le couvert, j'ai fini par comprendre que plus j'exigeais, moins j'obtenais." Un soir, Claire, au lieu de prononcer pour la millième fois les fameuses phrases, s'est donc fait son propre repas et s'est installée tranquillement pour le manger.
"Au bout d'un moment, ils sont sortis de leur tannière et sont tombés des nues. Comment avais-je pu les priver de manger, j'étais vraiment atroce, etc. Je ne me suis pas énervée et je leur ai expliqué calmement que je n'y arrivais plus. Que je n'étais pas surhumaine, que j'étais épuisée moi aussi, que je comprenais qu'ils en aient assez de mes demandes, mais que j'existais et que j'avais besoin de les sentir impliqués."
Une tirade "bien mieux entendue" qui a débouché sur "une vraiediscussion, sur ce qu'ils pouvaient faire et ce que je pouvais faire pour que chacun trouve son compte". "Ma fille ne voyait pas d'inconvénient à s'occuper du repas deux fois par semaine, tâche qui lui plaisait bien plus que de mettre le couvert. Et mon fils a semblé entendre enfin mon ras le bol. Depuis, il est plus présent dans les tâches quotidiennes".
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Par SUNCATY le 2 Juin 2015 à 09:59
ENFANTS - CHAMBRE
L'heure du rangementQuand il a l'âge de comprendre, apprenez-lui à être ordonné.
Attribuez une boite de couleur différente pour chaque type de jouets (poupées, voitures, jeu de construction...). Préférez les étagères à sa hauteur au placard, votre enfant repérera ses jouets sans tout chambouler.
Bien ranger les petits jouetsLes récipients et autres boites alimentaires (barquettes de glace ou de beurre) sont idéales pour ranger les tout petits jouets comme les dés, les billes, les figurines...
Pourquoi ne pas carrément poser un tissu résistant et lavable sur les murs de la chambre des petits? Une toile cirée fera l'affaire. Il en existe de très jolies.
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Par SUNCATY le 1 Juin 2015 à 07:06
ENFANTS - BAIN
Une nouvelle attraction pour le bain : remplissez d'eau un gant de caoutchouc, fermez-le en faisant un nœud et placez-le au congélateur.
Lorsqu'il durcit, démoulez et plongez l'iceberg dans la baignoire.
Le succès est assuré. Vos enfants seront fous de joie.
Mieux vaut toutefois réserver cette attraction aux mois d'été.
Des séances de shampoing rigolotesDeux solutions pour faire barrage aux trombes d'eau et de shampoing qui se déversent dans les yeux de votre enfant :
♥ des lunettes de plongée ou un gant de toilette plié en deux dans sa longueur.
Ranger et égoutter les jouets de bainCertes, canards en plastique et autres tortues d'eau décorent le tour de la baignoire mais ils sont un peu encombrants. Recyclez le filet de la poussette dont vous ne vous servez plus:
♥ accrochez-le aux robinets ou suspendez-le à l'aide de ventouses.
Non seulement vous aurez tout rangé mais, en plus, les jouets s'égoutteront au-dessus de la baignoire.
Pour que votre salle de bains ne se transforme pas en piscine, disposez tout autour de la baignoire des serviettes en éponge usagées qui absorbent les débordements et éviteront ainsi de rendre le sol glissant et dangereux.
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Par SUNCATY le 31 Mai 2015 à 08:40
ENFANTS - HABILLEMENT
Il pleure, se débat... Vous met en retard tous les matins! Pour éviter ce cauchemar et l'habiller en toute tranquillité, préparez ses vêtements la veille mais, surtout, accélérez le processus : enfilez le maillot de corps dans la chemise, laquelle sera déjà dans le pull. Vous économisez ainsi ses réactions !
Evidemment, le Velcro, c'est ideal ! Et cette paire de chaussures vous plait mais elle ferme avec lacets ! Le double noued ne tenant pas toute la journée, remplacez-le plutôt par une astuce.
♥ Humidifiez les lacets des chaussures avec une éponge avant de les nouer et bous n'aurez plus à vos rebaisser.
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Par SUNCATY le 29 Mai 2015 à 05:33
ENFANTS - CALENDRIER DES VACCINATIONS
• Dès le premier moisVous devez faire vacciner votre nouveau-né contre la tuberculose(BCG). Impossible sans cela de l'inscrire à la crèche....
• A partir de 2 moisC'est le DTP(diphtérie, tétanos, polio), obligatoire, qui s'effectue en trois injections à un mois d'intervalle.
Premier rappel un an après, puis tous les 5 ans. Procédez également à la vaccination contre la coqueluche, en trois injections à un mois d'intervalle. Pensez au premier rappel, un ans plus tard, puis au second, lorsque votre enfant aura entre 11 et 13 ans.
On conseille également, un vaccin contre la méningite de l'enfant (antihaemophilus), en trois injections à un mois d'intervalle. Faites faire un unique rappel, un an après.
Enfin, n'oubliez pas le vaccin contre l'hépatite B, qui s'effectue en trois injections, deux à un mois d'intervalle, la troisième 5 ou 12 mois après la première.
• Vers 12 moisC'est au tour du vaccin contre la rougeole (avec un rappel six mois plus tard), couplé avec les vaccins contre les oreillons et la rubéole.
• Chez l'adulteEffectuez un rappel tous les 10 ans de TP(tétanos, polio).
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